Reportage France 3 : F.Malory; D.Beaumont; C.Delannoy
La saison de la production d’huile d’olives s’achève. Si la qualité est au rendez-vous, les rendements sont décevants. La faute aux pluies abondantes du début de saison qui ont gorgé les olives d’eau. Pour ceux qui ont attendu la fin de la saison pour cueillir, le fruit est exceptionnel en qualité.
Les producteurs d’olives sont déçus. La saison 2018-2019 n’est pas aussi bonne qu’espérée. Les nombreuses pluies des mois d’octobre et novembre dernier ont perturbé le début de saison, par la suite, la tendance s’est inversée, le climat s’est montré beaucoup plus favorable.
D’après Fabrice Godet, moulinier à Draguignan : “En début de saison, on avait des olives pourries par l’eau, on n’avait jamais vu ça. Maintenant elles sont belles, c’est grâce au vent et au froid.”
Même constat pour René Henry, producteur d’Huile d’Olives à Vidauban : “La qualité est au rendez-vous. Heureusement car cette année on n’a pas eu de bons rendements, on a fait du 10 litres d’huile pour 100 kilos au lieu de 14 litres.“
Même constat pour René Henry, producteur d’Huile d’Olives à Vidauban : “La qualité est au rendez-vous. Heureusement car cette année on n’a pas eu de bons rendements, on a fait du 10 litres d’huile pour 100 kilos au lieu de 14 litres.“
Une moyenne plus qu’honorable, pour une saison oléicole en double teinte qui grâce au dernier trimestre termine sur une très bonne note.
Texte Pierre-Olivier Casabianca
