


Une ville entièrement rendue aux piétons et une programmation abondante ont fait de cette fête une exception dans la liste des 33 fêtes de la musique déjà vécues par les dracénois. Les restaurants avaient étendu leurs terrasses et les bars n’ont pas désempli. La belle endormie tant de fois évoquée dans les polémiques était hier méconnaissable. Et si Draguignan devenait un aimant culturel pour la dracénie et au-delà ? Il se passe quelque chose ici disaient les gens dans les rues endiablées…Et le solstice d’été n’est peut-être pas la seule raison… JCH